Salia Sanou chorégraphe et danseur Né en 1969 à Léguéma, au Burkina Faso, Salia Sanou dirige depuis 2011 la compagnie Mouvements Perpétuels, implantée à Montpellier. Il est formé à la danse africaine par Drissa Sanon (ballet Koulédrafrou de Bobo Dioulasso), Alasane Congo (Maison des jeunes et de la culture de Ouagadougou), Irène Tassembedo (compagnie Ebène) et Germaine Acogny (Ballet du Troisième Monde). En 1993, il intègre la compagnie Mathilde Monnier au Centre Chorégraphique National de Montpellier. Il participe alors aux différentes créations de la compagnie Antigone, Nuit, Arrêtez arrêtons, arrête, Les lieux de là, Allitérations. Parallèlement, Salia Sanou chorégraphie L’héritage, une pièce qui reçoit le premier prix en art du spectacle à la Semaine Nationale de la Culture au Burkina Faso. En 1992, Salia Sanou rencontre Seydou Boro à l’Ecole des Ensembles Dramatiques de Ouagadougou. Trois ans plus tard en 1995, forts de leur parcours commun au sein de la compagnie Mathilde Monnier, ils fondent la compagnie Salia nï Seydou avec leur première oeuvre Le siècle des fous. Salia et Seydou seront lauréats des deuxièmes Rencontres Chorégraphique de l’Afrique et de l’Océan Indien à Luanda et recevront le prix “Découverte” R.F.I. Danse 98, avec leur spectacle Fignito, l’oeil troué créé en 1997, puis Taagalà, le voyageur en 2000 au festival Montpellier danse. Pour la compagnie Tumbuka Dance du ballet national du Mozambique, il chorégraphie Kupupura en 2001. En 2002, entouré de Seydou Boro et de Ousséni Sako, il chorégraphie L’Appel, une des pièces les plus intimistes de la compagnie, interprétée par trois danseurs et quatre musiciens originaires du Maroc et du Burkina Faso. En 2006, Seydou Boro et lui invitent le compositeur Jean-Pierre Drouet à les rejoindre pour une collaboration inédite avec l’ensemble instrumental Ars Nova, ce sera Un Pas de Côté créé à la Biennale de la Danse de Lyon, pour cinq danseurs et six musiciens. Enfin en 2008, les deux chorégraphes créent Poussières de sang, pour sept danseurs, une chanteuse et quatre musiciens, exposé cru et implacable des violences humaines. Parallèlement de 2001 à 2006, Salia Sanou est directeur artistique des Rencontres Chorégraphiques de l’Afrique et de l’Océan indien (Culturesfrance). Dans ce cadre, il a pu mener réflexions et actions pour le développement de la danse créative du continent. De 2006 à 2011, il est artiste associé à la Scène nationale de Saint-Brieuc et de 2009 à 2011, il est en résidence longue au Centre National de la Danse – Pantin. Il est l’auteur de Afrique, danse contemporaine, ouvrage illustré par les photos d’Antoine Tempé et coédité par le Cercle d’Art et le Centre National de la Danse – Pantin, paru en novembre 2008. Il dirige avec Seydou Boro, la biennale Dialogue de Corps à Ouagadougou, qui propose des résidences d’écriture, des ateliers, des rencontres autour d’une programmation internationale de danse. Ils sont également directeurs du Centre de Développement Chorégraphique Termitière de Ouagadougou (Burkina Faso), inauguré en décembre 2006. Ce projet d’envergure internationale et première du genre en Afrique, est financé conjointement par l’Ambassade de France à Ouagadougou, le Ministère de la Culture, des Arts et du Tourisme du Burkina Faso, et la Mairie de Ouagadougou. Pour son travail chorégraphique dans le monde, Salia Sanou a été nommé Officier des Art et des Lettres en 2008 par le Ministère de la Culture français, et a reçu avec Seydou Boro le trophée Culturesfrance des Créateurs 2007. Il a été également élu Artiste de l’année 2003 par l’Organisation Internationale de la Francophonie.
Clameur des arènes questionne le sens de la lutte qui anime toutes nos vies et résonne comme une ode...
Trois danseurs. Cinq lutteurs. Quatre musiciens et chanteurs. Tous dans un même espace, celui de l’arène.
Abordant également l’exil intérieur, Du Désir d’horizons est une manière de panser les plaies et d’entrevoir un nouvel horizon.
Le mouvement, la musique et le rythme comme formidables vecteurs d’un retour à la vie
Abordant également l’exil intérieur, Du Désir d’horizons est une manière de panser les plaies et d’entrevoir un nouvel horizon.
Le mouvement, la musique et le rythme comme formidables vecteurs d’un retour à la vie
Abordant également l’exil intérieur, Du Désir d’horizons est une manière de panser les plaies et d’entrevoir un nouvel horizon.
Un plaisir vertigineux pour celui qui regarde et écoute
Vibration, vitalité, pulsation : l'Afrique noire investit les scènes de Saint-Maur, de la Briqueterie et de Charenton puis de...
Vibration, vitalité, pulsation : l'Afrique noire investit les scènes de Saint-Maur, de la Briqueterie et de Charenton puis de...
Spectacle performance avec 80 musiciens et danseurs amateurs conduits par Salia Sanou et Laurent Blondiau.
Quel partage, quelle remise en question et quelle relation s’élaborent ? Elle le fera dans ce temps constitué de...
Un horizon comme ligne de fuite...
Focus Afrique Subsaharienne : des pièces mémorables de la danse contemporaine africaine, réinterprétées par la nouvelle génération de danseurs...
Poétique et intense
Comment survivre à la violence du déracinement ?
L’espoir d’un horizon qui s’ouvre
Une réflexion sur la situation des réfugiés
Interroger l’exil
Une soirée exceptionnelle avec 25 chorégraphes en vue. Recommandation DanseAujourdhui
Un appel d'air et un témoignage criant
Une réflexion collective sur la situation des réfugiés et sa résonance en chacun de nous
Un appel d'air et un témoignage criant
Danse magnifique, sinueuse et forte
Une réflexion collective sur la situation des réfugiés et sa résonance en chacun de nous